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Exploration - Où trouver de la vie intelligente dans le verse

Cano II - Carteyna


Type : Planète océan

Habitable : Oui

Bon, ici, c'est discutable, il s'agit d'un genre de plancton qui cultive des algues, intelligence ou pas faut voir...

Située au bord de la zone habitable, Carteyna est un monde océanique avec une atmosphère caustique et irrespirable, Cano II était loin d'être une candidate idéale pour la terraformation. Changer une atmosphère aussi dense et toxique sur une planète qui accueille d'immenses océans n'a pas été une partie de plaisir, surtout avec la technologie disponible à l'époque. Si la proposition avait été présentée à une autre époque, il est théoriquement admis que l'approbation du projet de terraformation n'aurait jamais été approuvée. Mais portée par une ferveur d'expansion sans précédent, le projet fut accepté.

L'effort qui s'ensuivi sembla porter ses fruits. De nombreux colons commencérent à émigrer sur ce monde.

Fort heureusement, son axe planétaire qui maintient constamment l'hémisphère nord loin du soleil permet à l'eau de geler en une masse épaisse, ce site a été utilisée comme première zone d'atterrissage en 2587 qui par la suite a accueillis les premiers avant-postes.

Le Hub côtier de Carteyna s'est rapidement développé pour devenir la plus grande de ces nouvelles zones d'activités, il a atteint une telle prédominance au cours de ces premières années que la planète elle-même est maintenant connue sous ce nom.

Malheureusement, ce succès précoce a été de courte durée. Les conditions atmosphériques ont rapidement commencé à se dégrader et les habitants ont été contraints de se terrer à l'intérieur d'avant-postes scellés sous la surface de l'océan. Cependant, cette première tentative ne fut pas la dernière. Avec l'infrastructure en place et l'autosuffisance atmosphérique apparemment à portée de main, il s'est avéré assez tentant pour les géo-ingénieurs d'essayer une nouvelle fois. De plus, il y avait l'incitation financière. Si le monde pouvait être rendu viable, ses ressources vaudraient une somme considérable. Ainsi au cours des siècles suivants, la planète a connue plusieurs autres tentatives, malgré de nouvelles améliorations géotechnologiques, ce fut en vain.

En fait, au fil des ans, chaque fois qu'il y a eu une nouvelle technologie en développement dans le domaine de la géo-ingénierie, elle était testée ici, sur Carteyna, pour obtenir à chaque fois le même résultat.

Cette tendance s'est poursuivie jusqu'au début du 30ème siècle, lorsque tous les espoirs de terraformer la planète ont été anéantis pour de bon.

La Canolisca

En 2898, un chercheur, le Dr Satomi Bechtel, a remarqué un motif rainuré complexe gravé à la surface d'une sonde sous-marine retournée. En enquêtant plus loin, elle a découvert qu'une colonie de zooplancton microscopique connue sous le nom de Canolisca était la responsable de cette décomposition de la coque de la sonde. Dr Bechtel a été surpris parce que l'espèce, étudiée par les chercheurs précédents, n'était pas connue pour avoir ce comportement.

Au cours des années suivantes, le Dr Bechtel se consacra à l'étude de la Canolisca. Elle a découvert que ce type de comportement n'était pas un cas isolé, après avoir trouvé des douzaines de sites portant ces marques complexes. La percée réelle est venue avec sa découverte que, à intervalles réguliers, les marques étaient recouvertes d'une algue bien particulière, ce plancton semble montrer un comportement agricole avec un certain type d'algue. 

Pour résumer, la Canolisca est un plancton ayant les facultés de communiquer sur de grandes distances et de cultiver des algues.

Cela a provoqué un tollé massif dans tout l’UEE à l'idée d’avoir essayé de terraformer un monde en développement.


Carteyna a immédiatement été placé sous la Loi nommée « Fair Chance Act »  (loi interdisant la terraformation de mondes en développements).

Malheureusement, des humains vivaient ici environ depuis plus de trois cents ans, des familles qui étaient installées ici depuis des générations, estimaient avoir gagné le droit de résidence, ils vivaient depuis longtemps dans ces arcologies scellées sous la surface. Ils ont dû se battre pour leur droit de rester sur la planète. Après des années de débats dans la communauté scientifique et politique, la population a finalement été autorisée à rester mais dans un cadre strictement réglementé: les futures tentatives de terraformation ont été interdites et la population humaine a été consolidée dans une zone restreinte afin de minimiser son impact sur l’environnement pour laisser aux espèces une chance de se développer dans les profondeurs de l'océan.


Avec les restrictions ainsi créées, la majorité des habitants de la planète a déménagé à Carteyna City. Répartis profondément dans les eaux géothermique sous la calotte glaciaire, ce qui a commencé comme une zone d'échange s'est développé au cours des siècles en une arcologie assez grande. Même si la population globale de la planète n'est pas très élevée, le fait qu'elle soit si dense dans cette zone rend Carteyna très vivante. D'autant plus que la plupart des intérêts commerciaux en cours se limitent aux eaux situées au large du pôle Nord.


Le voyage vers l'hémisphère sud est limité. Avant l'Accord, des îles, disséminées autour des océans du monde, avaient été construites pour servir de zones d'atterrissage. Mais en dehors de celles qui ont été cooptés par le Bureau du CDSA pour mener leurs opérations à bien, le reste a été abandonné. Alors que certains des avant-postes flottants ont coulé pour devenir des récifs artificiels, ceux qui sont encore à la surface ont été envahis par des oiseaux, de grandes populations de crustacés ou sont devenus des refuges pour des opérations commerciales illégales et les braconniers dans l'espoir de recueillir des échantillons de la Canolisca.

De nos jours, vous ne pouvez pas acheter ou revendiquer de terrains dans le système à cause des restrictions liées à la Fair Chance Act, mais vous pouvez toujours le visiter. C'est une destination touristique très en vogue, c'est censé être un beau monde océanique sauf que l'atmosphère est toxique, la population vit recluse dans les arcologies scellées sous la surface du pôle Nord. Donc si vous voulez visiter la ville de Carteyna qui est un lieu de vie très animé, la plupart des habitants vous diront que c'est absolument possible de vivre ainsi, et vous pourrez  trouver des donneurs de mission entre autres choses...

Garron II



Cette planète rocheuse abritait une biosphère étonnamment diversifiée avec une gamme variée de formes de vie indigène jusqu'à ce que les Messer les éliminent en terraformant la planète. La découverte du massacre a été un scandale qui a sonné le glas de la dynastie Messer. La nouvelle Imperator, Erin Toi, après avoir suspendu la terraformation, a déclaré que la planète était un habitat naturel qu'il fallait préserver. Depuis lors, les sociétés de terraformation et les scientifiques ont travaillé à restaurer la planète et, bien qu'ils soient dans l'incapacité de recréer les créatures, ils ont fait de grands progrès pour réintégrer une grande partie de la vie botanique, en grande partie grâce aux centaines de scans détaillés que Shiherlis et son équipe ont enregistré. Malgré qu'elle n'a plus d'habitants, cette planète a été placée sous la loi "Fair Chance Act". Les scientifiques de l'UEE ont depuis travaillé pour faire en sorte que la planète revienne à son état d'origine.

Genesis II


Genesis II est un monde tellurique comprenant des continents intercalés d'océans. Regorgeant d'espèces conscientes, la planète a été placée sous la protection de l'Acte pour l'équité des Chances et est lourdement étudiée par les scientifiques. Récemment, une créature océanique simili céphalopode a commencé à explorer les terres, déclenchant de violentes confrontations avec l'espèce qui les dominait. Bien que le FCA interdise l'intervention extérieure sous toutes circonstances, les scientifiques et les académiciens sont empêtrés dans un débat sur la moralité de permettre qu'une guerre inter espèces advienne sous leur garde.

Kellog II


Xis est la raison pour laquelle le système Kellog a été reconnu en vertu de la Fair Chance Act et qui justifie que la classification des assurance soit si élevée (pour un système de L'UEE).

La planète est parsemée de profondes jungles contenant une bio-diversité qui peut rivaliser avec n'importe quel autre endroit similaire du verse. Avec ses mers chaudes qui abritent une grande variété de créatures, y compris des crabes géants de 10 pieds de haut et ses forêts tropicales qui regorgent de millions d'insectes, primates et les célèbres Flo-Pets.

Le nom de la planète vient des premières créatures qui ont été découvertes (insectes à 14 yeux, "Xi" étant la 14ème lettre de l'alphabet grec).

Peu de gens peuvent oublier l'engouement Flo-Pet de la dernière décennie: cet animal inhabituel, mieux décrits comme un croisement entre un chat domestique et une méduse a fait fureur sur Terre, les riches et les puissant désespéraient de les collectionner et les faire se reproduire pour afficher leur magnifique petite créature. Kellog II était leur point d'origine, où le premier de leur race a été capturé par un contrebandier qui a d'abord pensait que cette créature pouvait être aussi joli qu'elle était délicieuse (au départ c'était le cas mais les Flo-Pets ont produit un acide aminé qui les ont rendu définitivement non-comestible, étrange faculté d'adaptation que voilà!). Au début, le gouvernement à initié une loi pour interdire la propriété de ces créatures. Beaucoup, inquiets que leur animal de compagnie puisse leur causer des ennuis avec la loi, ont abandonné leur Flo-Pet, ce qui a abouti à la création de populations significatives de Flo-Pets sauvages sur de nombreux mondes. À la fin cependant, la popularité de ces créatures était telle que toute tentative d'interdiction s'avéra presque impossible. Mais l'intérêt pour ces dernière est retombé, et leur descendance infeste les égouts de chaque monde développé.

Visiter Xis est donc strictement interdit:

Depuis la débâcle des Flo-Pet, l'UEE est restée vigilante quant à la protection de Xis contre les visiteurs indésirables. Le sous comité pour le développement et l'extension (SDE) a identifié la planète comme monde en développement, en citant l'existence d'une espèce primitive semblable aux hominidés connue sous le nom d'Orms. Peuplant la région polaire du nord de la planète, les Orms ont commencé, au cours des cent dernières années, à développer un schéma d'interaction sociale complexe et une utilisation d'outils extrêmement primitifs.

Bien que leur culture est d'intérêt que pour les scientifique (qui parfois achètent de l'équipement et des conserves, selon la saison - en prévision de l'hiver). Les Orms eux même n'ont aucun intérêt pour les marchands: il ne produisent rien, et ne sont pas assez civilisés pour servir de main d'œuvre. Le marché noire, cependant, est très rependus.


Toutes la planète est protégée par un réseau de satellite de surveillance, L'UEE n'a généralement pas la capacité, ou d'intérêts dans le maintien d'une zone entièrement contrôlée autour de l’orbite. Toutes incursion tentée sans une technologie furtive suffisante sont enregistrée et peuvent nuire a la citoyenneté d'un pilote sur le long terme ... mais il y a peu de danger de s'attirer le feu de batterie orbitale ou de rencontrer un escadron de destroyer dans le coin.

Osiris I - Etos (Nom non-officiel)


Affiliation : En Développement - Protégée par la Fair Chance Act

Localisation : Système Osiris

Type : Planète Tellurique

Satellite : Observatoire Kobolo

Habitable : Oui

Cycle orbital : 345 JTS

Osiris I a été baptisé du nom d'Etos, en orbite autour de la planète se trouve la station d'observation Kobolo, c'est là que se situe l'essentiel des activités humaines du système. La station est occupée par la Navy mais aussi par des scientifiques qui étudient la population indigène.

Demandez à un citoyen de vous décrire la légendaire biosphère d’Osiris I et vous entendrez la description d’improbables forêts tropicales grouillant de toutes les formes de vie imaginables. La réalité en est très éloignée. Etos se trouve à l’extrémité de la ceinture verte d’Osiris, coté étoile. La vie s’y est adaptée de manière radicalement différente que sur Terre. La première chose qu’il faut comprendre, c’est que la vie sur Etos ne se développe pas au grand jour. Il n’y a aucune forêt pleine de vie, s’étirant vers le ciel, ni aucune steppe polaire sauvage et indomptée. Bien que l’atmosphère pourrait permettre la vie humaine, la surface de la planète n'est pas très hospitalière il y règne une chaleur étouffante, l'essentiel de la vie sur la planète s'est développée dans l'immense réseau de grottes qui s'étend sous la surface, bien à l’abris de l’étoile. C’est pour cette raisin qu’elle n’a pas était détectée par les scans lors des études préliminaires (il existe peut-être d’autres planètes dans ce cas où ils sont complètement passé à côté de l’essentiel, le pense à Mia dans le système Leir par exemple).

Sous terre, le monde est bien plus intéressant. Etos est dotée d’un vaste système souterrain, profond de plusieurs miles, qui creuse son chemin dans le manteau de la planète. Diverses formes de vie y ont pris place, allant des langoustes à un ensemble d’espèces divergentes qui pourraient, au mieux, être décrit comme des disques prismatiques (le nom informel, « le pancake tremblant », est resté), qui se déplace on se retournant le long des parois des grottes. Le Singe de Phare est l’un des facteurs justifiant la protection d’Etos. C’est la fameuse espèce intelligente qui ressemble dans les grandes lignes à des singes terrestre, ils sont humanoïdes et ont développé les fondements d'une société. L'étude de ces créatures est difficile puisqu'ils vivent sous la surface ce qui limite les moyens d'observation, les drones doivent tout faire pour ne pas déranger cette civilisation naissante.

Ces dernières années, Etos est devenu le refuge de contrebandiers toujours plus impudents ainsi que d’études illégales pour le compte d’entreprises. Cela va des pirates qui tailladent et brûlent tout, à la recherche de leur propre crâne de Singe de Phare pour servir de mug (ce qui est considéré comme très symbolique pour ceux qui bafouent la loi) aux méga corporations qui exploitent la biomasse souterraine par kilomètre cube, à la recherche de tout sortes de choses, des remèdes à tous les maux, aux produits médicinaux réellement efficaces, en passant par les armes biologiques. Il n’existe aucune zone d’atterrissage pour que ces visiteurs illégaux se posent, mais il faut reconnaître que ce genre d’emplacements sont plutôt difficiles à localiser pour ceux qui traverse la ceinture d’astéroïdes et qui traînent autour de la planète. Il n’y a que peu de grandes « ouvertures » vers le réseau de souterrains de la planète. Et ceux qui cherchent à y faire du commerce ont tendance à bien marquer celles qu’ils ont utilisées.

Oso II


Une luxuriante biosphère, avec une variété de régions et de climats,  Oso II affiche une gravité élevée, plus élevée que celle de la Terre. La planète est principalement connue pour être le monde natal de l'espèce primitive la plus développée jamais rencontrée par l'UEE. Connus sous le nom d'Osoians, cette race possèdent de multiples membres  et communiquent entre eux en utilisant des combinaisons de flashs lumineux qui sont produits par les cellules caméléons qui couvrent leur tête. La communauté scientifique humaine exerce d'énorme pression pour avoir la chance de pouvoir communiquer avec une forme de vie émergente, et l'étude des communications des Osoians continuent encore aujourd'hui (dans les limites que permet la Fair Chance Act).

En plus des Osoians, la planète est aussi le foyer d'un grand nombre d'autres espèces moins connues,  mais pour beaucoup ils ont évolue de telle façon qu'ils ne ressemblent a rien de ce que nous avons découvert jusqu'à présent. Bien que l'étude directe est une violation du Fair Chance Act, certains scientifiques ont réussi a obtenir l'autorisation de l'UEE pour établir des plateformes de recherches en orbite afin d'essayer d'étudier les espèces à distance. Ces plateformes sont surveillées avec précautions et ne sont autorisées que pour de courte durée.

Citations

"Regarder dans les yeux d'un Osoians c'est regarder dans notre propre passé et voir le potentiel qui évolue et grandit en chacun de nous. Avec toutes les espèces que nous avons rencontré et que nous espionnons dans l'ombre grâce a notre avance technologique, vous devez vous demander, y a t il une espèce là dehors qui nous espionne elle aussi dans l'ombre ?

- Professeur JT Collins, Un pas vers le précipice.

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